Les feux tricolores sont comme des tags urbains.
Le lance-pierre, lui, est au voyage spatial, une injonction de mise à distance.
Quand au musée Grévin, il pose la question « Quel avenir pour Paris ? »
Mais quelle place tient le lance pierre dans la construction de la société spatiale si ce n’est tenir le rôle d’une pierre magnétique qui cristallise tous les espoirs. De même, le tag est à l’homme urbain ce qu’on dit d’un autre quadrupède : « le cheval est le meilleur ami de l’homme ».
La pierre magnétique de l’Espace est accusée par d’autres d’être l’OGM de l’avenir. Un clonage reproductif des espoirs et de l’avenir de l’humanité.
L’humanité porte en son sein l’inégalité des eaux dans le monde. Faisons un retour en 2057. L’arche de Noé du Spitzberg se place comme l’avenir du monde avec les clones des plantes et des animaux disparus. Tels le phœnix inespéré qui protège l’humanité d’une hémorragie cérébrale massive foudroyante tant son attitude fut crapuleuse.
La robotique au quotidien tenta d’apporter une autre solution. La nouvelle base sur Mars, inaugurée en 2057 apportait son lot d’espoir. Le pigeon parisien, à sa manière, fut sur source de renouvellement du regard des gens face à l’iceberg de la taille de Paris que son nos mégapoles monolithiques. Les feux tricolores, dans une aberration, furent même évoqués pour faire marcher les pigeons ! Qu’allait-on encore lui faire subir à ce pauvre pigeon parisien, lui dont l’alimentation se résume à nos déchets.
Autres temps autres mœurs, de l’autre coté de l’atlantique, la communauté hispanophone des USA subit une explosion 2056 similaire au lancement d’un pigeon martien ! Et pourtant 2058 était annoncé comme l’année du retour à la vie sauvage. Comme si l’incinération de Tabarly venait fertiliser la terre en 2058. Comme si Yvonne, épouse dévouée d’autres temps venait s’adresser à l’Europe en 2057. Mais, à bien y réfléchir, on s’attend plutôt à voir jaillir un astéroïde en 2058.
L’adrenaline, l’endorphine sont par ailleurs devenues les drogues nécessaires de l’exploitation minière spatiale, des lieux tellement rudes que les clones dans la société spatiale y trouverait place. Tels le robot Opportunity, ramené sur Terre, en avril 2008, le clonage et le conditionnement d’un jeune homme avec son lance pierre et son pigeon sont devenus un symbol qui, lui, devient une insulte en regard de l’hémorragie cérébrale à laquelle se soumet l’humanité en regardant le soleil.
« Le tag fait peur » criaient les clones humains en 2008. Nous somme l’avenir comme un cheval de feu apprivoisé en 2008. Le musée Grévin, aux USA, proposa un système d’aération robotique qui fut présenté vendredi où la vie sauvage devenait un thème récurant de la vie au naturel.
Les USA dans un article de 2008 évoquaient l’utilisation des puces sous-cutanées. La robotique au moyen orient considérée comme de la science fiction n’en restait pas moins l’avenir de humanité. Pendant cette période, la standardisation des langues illustrée au Musée Grévin par le dernier arrivée au musée qui portait un tatouage sur lequel est écrit « rip* ».
Les robot humanoïdes nés le 21 mai avaient déjà intégré la standardisation linguistique. L’incinération à venir aux émirats incita à trouver son tag qui utilisait des vésicules sous cutanée comme celles des pigeons. « Comment seras la vie en 2056 » interrogeait le CERN depuis l’orbite terrestre dans un article sur l’inégalité de l’eau dans le monde. Les moyens de protection individuelle au cours des repas de famille furent incrits aussi sur un tatouage de 2008.
Quand au coût de l’incarcération d’un prisonnier, il relevait de l’inégalité de moyen technologique dans le monde !
Voir Coutumes de réseau : réaction à cet article.
© Elaïwon Per
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