La vocation de Google est d’aspirer l’information. Ils ont quantité de méthodes de collecte de données — cookies, formulaires, suivi de clic et balises Web, pour n’en nommer que quatre et tous leurs revenus dépendent ces données collectées. Mais d’une certaine manière, la reconnaissance faciale est trop danfereuse pour eux. Eh bien, quoi qu’il en soit, préparez-vous à un avenir dystopique dans lequel la reconnaissance faciale est une réalité et ça commence par la Russie !
Jonathon Frankle, The Atlantic, dévoile la vérité sur une nouvelle application, FaceFind. Celle-ci scane déjà la version russe de Facebook, le réseau social VK, pour identifier les visages qui correspondent à toute photo téléchargée dans l’application. Les utilisateurs peuvent prendre une photo de vous dans un magasin, la télécharger dans FaceFind, et ils seront, le lendemain, sur votre pas-de-porte. Si cette application qui « l’espace virtuel de la Russie » pour le reste du monde, la notion d’anonymat sera complètement détruite.
Facial recognition tech, according to Google Executive Chairman Eric Schmidt, is “the only technology Google has built and, after looking at it, we decided to stop.”
Google exists to suck up information. They have tons of data-collection methods—cookies, forms, click tracking, and web beacons, to name four—and all their revenue depends on the data they have. But somehow, facial recognition is too evil for them. Well, get ready for that face-matching dystopia of the future, because it’s already a reality in Russia.
Writing for The Atlantic, Jonathon Frankle has the lowdown on a new app, FaceFind. It scans Russia’s version of Facebook, the social network VK, to locate faces that match any photo uploaded to the app. Users can snap a photo of you at a coffee shop, run it through FaceFind, and show up at your doorstep the next day. If this app can make the leap from Russia to the rest of the world, anonymity will be completely destroyed.
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