Dans les médias populaires, le « vol » des emplois par les robots est souvent évoqué. Mais quand on arrête le jeu de la polémique pour faire face à la réalité, l’impact de la robotique de pointe sur le monde du travail est beaucoup plus nuancée et complexe. Les questions de l’emploi et les inégalités de revenus disparaissent, par exemple
Pourtant, les robots appelent généralement des changements massifs dans la façon dont le travail qualifié se fait : Le travail requis pour piloter un F-16 dans une zone de combat est radicalement différent du travail nécessaire pour piloter un Reaper, un véhicule aérien sans pilote semi-autonome, dans la même zone.
Parce qu’ils changent le travail si radicalement, les bouleversements qu’amènent le robot créent le défit suivant : Comment formez-vous la prochaine génération de professionnels qui travailleront avec des robots ?
In the popular media, we talk a lot about robots stealing jobs. But when we stop speculating and actually look at the real world of work, the impact of advanced robotics is far more nuanced and complicated. Issues of jobs and income inequality fade away, for example — there aren’t remotely enough robots to affect more than a handful of us in the practical sense.
Yet robots usually spell massive changes in the way that skilled work gets done: The work required to fly an F-16 in a combat zone is radically different from the work required to fly a Reaper, a semi-autonomous unmanned aerial vehicle, in that same zone.
Because they change the work so radically, robot-linked upheavals like this create a challenge: How do you train the next generation of professionals who will be working with robots?
La suite, ici : Robots add real value when working with humans, not replacing them
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