Albert «Skip» Rizzo me salue d’un amical coup de poing à l’épaule. cet homme 60 ans porte queue de cheval et monte une Harley. Il dégage de lui un quelque chose des années 1970 en dépit de sa chemise rose claire bien coupée qui surplombe un jean. Nous sommes au quatrième étage de l’Institute for Creative Technologies, à l’universitaire de Californie du Sud – un bâtiment élégant dans le centre des technologies de Los Angeles, avec Facebook, Google et Yahoo juste à côté – où Rizzo est le directeur de la réalité virtuelle médicale.
Le bureau Rizzo est un véritable cimetière de la réalité virtuelle : casques maladroit, maquettes de crâne, des piles de livres encombre les atagères et les récompenses couvrent les murs. Il me lance un Rift Oculus, le casque de réalité virtuelle de Facebook. Soudain, je suis dans le Connecticut, assis à la table du dîner de Noël de sa famille pendant que son père dit les grâces.
Albert “Skip” Rizzo greets me with a fist bump. The ponytailed 60-year-old rides a Harley and gives off a 1970s vibe despite his staid, light pink button-down and jeans. We’re on the fourth floor of the University of Southern California’s Institute for Creative Technologies — a sleek building in Los Angeles’ tech hub, with Facebook, Google and Yahoo just next door — where Rizzo is the director of medical virtual reality.Rizzo’s office is a veritable VR graveyard: clunky headsets, skull knickknacks, piles of books and awards. He tosses me the Oculus Rift, Facebook’s virtual reality headset. Suddenly I’m in Connecticut, sitting at his family’s Christmas dinner table while his father says grace.
Source : The Godfather of Virtual Reality Wants to Heal Your Wounds | Rising Stars | OZY
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